Rubrique Sportive

Étant donné qu’il n’y a pas eu d’évènement sportif ce mois ci, j’ai décidé de conter un duel que j’ai fait contre Sir Walter Garreth, un anglais venu s’établir à la guilde des duellistes de Champagne. L’arbitre de ce duel était Godasse.

Le signal du départ se fit entendre, et je m’élançai contre mon adversaire. Mon épée d’entraînement frappa la première, elle lui toucha le bras. Mais elle fit mouche sur son armure. Sir Walter répliqua avec sa masse, et me toucha la jambe. Son armure l’empêchait de bien frapper vers le bas, et je ne fût pas blessé. Il s’attaqua de nouveau à la même jambe, mais sans succès à me déstabiliser. Je le refrappa à mon tour à son bras, mais sans l’égratigner.

Sir Walter me surpris en attaquant tout de suite. Sa masse visa mon abdomen, mais manquant de force, ne réussi pas à me blesser. Je sorti de ma bulle et réplica dans un défaut de son armure et le blessa légèrement. J’essayai de refrapper à la même place, mais il bougea au dernier moment. Sa masse s’abatis sur mon bras, mais sans me blesser.

Mon prochain coup se retrouva dans son défaut d’armure encore une fois, et le blessa. Sa masse s’abatis au niveau de mon thorax et me laissa le souffle court, légèrement blessé. Puis il frappa à mon bras pour me faire lâcher mon arme, mais il n’y parvint pas. Ayant repris mon souffle, je le frappai de nouveau et le blessa encore une fois.

Voyant que Sir Walter était mal en point, Godasse arrêta le duel. Il demanda à Sir Walter s’il voulait continuer, et il dit oui. Le duel repris. Il me blessa à nouveau au thorax avec sa masse. Encore le souffle coupé, je frappai à l’aveuglette sans le toucher. Il en profita pour m’asséner un coup à la tête.

Encore une fois, Godasse arrêta le duel. Il me demanda si je voulais continuer, et je dis oui. La première personne à blesser l’autre gagnera le duel. Le duel repris. Walter me frappa à l’abdomen, mais il était trop faible pour me blesser. Je réplica avec un coup à la tête, et blessa Sir Walter.

Godasse arrêta le duel et me déclara vainqueur. Puis il nous invita à l’infirmerie pour soigner nos blessures.